Comprendre les fusions d’entreprises (partie 2)
Fusions d’entreprises, quel impact concret sur les gens? Sur le travail? La partie 2 de mon dialogue dont j’ai commencé la publication hier.
Fusions d’entreprises, quel impact concret sur les gens? Sur le travail? La partie 2 de mon dialogue dont j’ai commencé la publication hier.
Une semaine qui va vous donner envie de faire la fête. Ou de vous soûler au point de tout oublier. C’est selon.
La nouvelle revue de presse sur le Blog du Radis. Enfin! Bon, c’est en mode « très en colère ». Vous êtes prévenus. (La faute à la fièvre qui m’assaille et dont la cause est peut-être autant à trouver dans mon rhume que dans ces nouvelles…)
Comme vous commencez à le comprendre, je me concentre sur les fusions qui illustrent l’imposture d’une « concurrence libre et non faussée ». En effet, si les organisations fusionnent, elles tendent vers des quasi-monopoles.
– L’État français vend sa participation dans Renault
– PSA (Peugeot Citroën) acquiert les activités financières d’Opel (oui, parce qu’au cas où vous l’ignoriez, sachez que la plupart des grosses entreprises disposent maintenant de leur propre banque ! Pratique ! Je devrais faire pareil pour financer ma vie perso…)
– Airbus rachète une majorité d’actions Bombardier. Y’avait trop de constructeurs d’avion de toute façon… Ou pas ?